Depuis 1997, les rachats d’actions ont dépassé les paiements de dividendes en espèces et sont devenus la principale forme de distribution des bénéfices par les entreprises aux États-Unis :
Le présent document donne un aperçu des rachats d’actions aux États-Unis, y compris les tendances en matière de distribution des bénéfices des sociétés, les grands types et les motifs qui sous-tendent les rachats d’actions et leur incidence sur le prix.
Ses principales conclusions sont les suivantes :
Sur un horizon de placement à long terme, les portefeuilles d’actions des sociétés qui achètent leurs propres actions ont généré des rendements excédentaires positifs par rapport à leurs indices de référence dans les segments des grandes, moyennes et petites capitalisations du marché américain.
Tous les portefeuilles de ces actions ont généré des rendements moyens supérieurs à ceux de leurs indices de référence sur les marchés baissiers que sur les marchés haussiers, quelle que soit la méthode de pondération de l’indice.
Par rapport aux portefeuilles de dividendes, les portefeuilles des sociétés qui achètent leurs propres actions ont tendance à avoir des rendements de dividendes plus faibles, et la plupart de leurs performances résultent de gains en capital plutôt que de rendements de dividendes.
Les portefeuilles des sociétés qui achètent leurs propres actions ont atteint des ratios de gains et de rendement excédentaire plus équilibrés sur les marchés haussiers et baissiers, ce qui en fait un bon complément aux portefeuilles défensifs axés sur les stratégies de dividendes et à faible volatilité.
La méthode de pondération équitable utilisée dans la construction des indices d’achat d’actions améliore les ratios de profit et les rendements excédentaires dans les marchés haussiers, ce qui rend la performance de ces indices plus équilibrée dans les marchés haussiers et baissiers.
L’impact de l’équipondération est plus important pour les grandes capitalisations que pour les petites et moyennes capitalisations.
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